samedi 9 janvier 2016

Under the dome


    Je te préviens tout de suite : ça va être de la chro vite torchée. Déjà, parce que j'suis attendu à un repas de famille (surtout que le frangin va siffler toutes les binouzes si j'arrive pas à temps!) et puis parce que j'en ai un peu ma claque de développer quand on est face à ce genre d'étrons. Mais attention : pas du petit étron de caniche, non! Je te parle ici d'un étrons millénaire de Sharkogigantoprotodinosaurus!

    Autant le dire tout de suite : j'ai lu tout ce que Stephen King a sorti en France et le livre était tout simplement parfait. On prend une petite ville américaine et on l'isole. Le dome n'est pas la fin en soi, non : le but est de pouvoir écrire sur les secrets d'une petite ville et sur les relations tendues entres certains personnes. Du pur génie quoi.

    La plupart des adaptations du maître sont malheureusement mauvaises. Il y a bien sûr quelques exceptions (The Mist ou Misery pour ne citer qu'eux) mais en général, je m'emmerde royalement. Et pour Under the dome, c'est pas que je me suis emmerdé, c'est surtout que j'ai eu envie de dégobiller au point de faire déborder la corne d'abondance! Pourtant, ça démarre pas trop mal lors de la saison 1 (mis à part le fait qu'une ado est juste séquestrée alors que dans le livre le mec viole son cadavre aha). Faut juste prendre la série comme une histoire différente du livre à partir du même élément déclencheur. Mais NON NON ET NON PUTAIN! Ca ne prend pas. Dès la saison 2 tu navigues entre une parodie de Lost sous complot gouvernemental et une pseudo-psychologie merdique version The Walking Dead en très mauvais. Je sais pas vous, mais moi ça m'a foutu le mal de mer(de)!

    Donc je ne vais pas m'étendre là-dessus. C'est carrément à chier. Je mets 2 points quand même parce que ça démarrait pas trop mal mais je trouve être encore sympa. Trop de Deus Ex Machina, trop d'acteurs prévisibles et trop d'incohérences.

2/10

Franz

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